Optimiser les données et les exploiter grâce à l’intelligence décisionnelle (business intelligence) est un véritable support – tel un GPS ou un phare – pour s’adapter à un monde en plein changement.
C’est aussi vrai pour monde qui adopte la durabilité.

Nous évoluons dans un contexte sans précédent.
D’un côté, nos aspirations économiques et la crise nous poussent à rechercher des performances accrues. L’accélération de la digitalisation de nos entreprises en est l’une des conséquences.
De l’autre, nous cherchons à réduire notre empreinte carbone, à respecter au mieux notre environnement et à produire plus durablement.
Au cœur de ce paradoxe, de cette transition, se trouve une opportunité.
En plaçant les données – notre phare – au centre de nos stratégies, de nos décisions et de nos actions, nous pouvons prendre la bonne direction pour concilier performances et durabilité.
Pour prendre des décisions éclairées et rapides, nous rappelons l’importance d’un solide pipeline des données.
Lorsqu’il est robuste, le flux de données est puissant et en temps réel. Il peut alors rendre les signaux plus visibles et aider les individus à prendre plus rapidement de meilleures décisions. Cela nous permet de mieux réagir à notre contexte, alors même qu’il est en train de changer, et de nous adapter à ses évolutions.
Dans le domaine de la finance, par exemple, les données communiquent des faits avérés. Elles permettent alors de transmettre des informations complexes, de mener des conversations difficiles ou encore de soutenir et défendre des initiatives stratégiques.
L’idéal est de mettre en place une véritable culture de la donnée au sein de l’organisation.
Les défis de la culture de la donnée…
Toutefois, il existe plusieurs obstacles à la mise en place d’une culture optimale de la donnée.
La tragédie de biens communs en est un premier exemple. Ce concept décrit un phénomène collectif, que l’on peut observer tant en économie, qu’en écologie ou en sociologie. Il décrit une situation de compétition créant un conflit entre l’intérêt individuel des protagonistes et le bien commun de l’organisation. La situation aboutit généralement à un résultat négatif pour l’ensemble des parties.
Dans notre cas, le risque est notamment l’acceptation des données lorsqu’elles appuient l’opinion du protagoniste et leur rejet dès lors qu’elles vont à l’encontre de son intérêt.
L’interconnexion et la gouvernance des données constituent d’autres difficultés. Ces sujets complexes conditionnent les capacités de l’information à libérer son potentiel. Nous introduisions ce sujet dans cet article.
D’ailleurs, la qualité et la fiabilité des données sont des enjeux évidents. Les décideurs doivent comprendre quoi faire des mauvaises données ou comment réagir lorsque le processus ne se déroule pas comme il le devrait. Concevoir un catalogue de données robuste est important pour effectuer des découvertes, il doit cependant rester transparent quant au statut et à la qualité des données.
Les préjugés peuvent également poser problème. Les nôtres, mais aussi ceux de nos collaborateurs.
Il nous revient de comprendre les suppositions, les préjugés et les biais de chacun afin de ne pas les laisser s’infiltrer dans les données.
Heureusement, lorsque les données se montrent décisives à plusieurs reprises, elles prennent plus facilement leur place de pilier dans la prise de décision.

… Mais des récompenses inestimables
Une fois les défis surmontés, nous pouvons nous approprier les avantages de la culture de la donnée et de l’Active Intelligence.
La confiance, instaurée lorsque les données sont vérifiées et confirmée lorsque les prévisions s’avèrent exactes, en est un premier exemple.
Mais d’autres opportunités s’ouvrent désormais à nous. Grâce à d’autres technologies telles que le Cloud computing, l’IoT, les bases de données orientées graphe ou d’autres technologies émergentes, les possibilités sont multiples.
La technologie Change Data Capture de Qlik, notamment, simplifie et accélère l’extraction des données, tout en apportant une plus grande cohérence et les avantages offerts par le streaming.
C’est la quintessence de tous les mondes.
Lorsque nous accédons à cet état de confiance, la culture de la donnée encourage chacun a prendre des initiatives, à tester, à s’impliquer dans les processus.
Quelques échecs en découlent, c’est inévitable. Mais ce sont là les leçons les plus précieuses.
Ensuite, chacun prend conscience de l’importance des données et du rôle que l’individu peut jouer en s’y intéressant, en analysant, en essayant des choses, en découvrant des liens, etc.

Les données, tel un phare dans le brouillard.
C’est bien là l’objectif de l’intelligence active.
Il nous est possible de trouver notre chemin sans elle, mais c’est beaucoup plus laborieux et plus long. Sans parler du risque d’échec.
Dans un monde où tout évolue si vite, pouvons-nous vraiment encore nous offrir le luxe de nous en passer ?

En mettant l’information au cœur de votre stratégie et en l’activant, nous naviguons vers le bon port, en évitant les obstacles.
En sélectionnant les technologies Qlik, vous choisissez l’intelligence active.
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Cet article est inspiré de Qlik Magazine Intelligence Active.